Le sens des maladies

Le sens des maladies et la médecine classique

Jusqu’à présent, l’approche de la médecine scientifique quant au sens de la maladie, a été dominée par la recherche d’une causalité et n’a laissé que très peu d’espace à la subjectivité du malade.

Actuellement, l’idée d’un causalisme multifactoriel comprenant à la fois des déterminismes génétiques et biologiques, des causes environnementales (alimentation, pollution, tabac), des variables psychologiques, est communément acceptée.

L’histoire du sens des maladies

Le sens des maladies est un sujet complexe et multifacette qui a fasciné les êtres humains depuis des siècles. Dans la médecine traditionnelle chinoise et indienne, les maladies étaient considérées comme des déséquilibres entre le corps, l’esprit et l’environnement.

De même, la médecine occidentale a longtemps cherché à comprendre les causes profondes des maladies et les mécanismes biologiques qui y sont associés. Cependant, les maladies peuvent également avoir un sens symbolique et psychologique qui va au-delà de leur aspect purement physique.

Il est indéniable que les maladies répondent à des codes qui étaient pressentis depuis la nuit des temps dans tous les grands mythes et les grandes symboliques. Les recherches psychologiques récentes font qu’ils sont de mieux en mieux connus. Les dernières découvertes scientifiques viennent confirmer chaque jour ces compréhensions.

« Médecine nouvelle », « biologie totale des êtres vivants », « décodage biologique »

Plusieurs médecins et scientifiques ont travaillé au sens des maladies.

Le sens des maladies

C’est le Dr Ryke Geerd Hamer qui s’est le premier intéressé à l’origine émotionnelle des maladies. Sa réflexion scientifique et humaine a abouti à une véritable découverte : « La médecine nouvelle Germanique » du Dr Hamer.

Le Dr Claude Sabbah, formé par le Dr Hamer lui a donné le nom de « Biologie totale des êtres vivants ».

Gérard Athias, formé par le Dr Sabbah et par Alejandro Jodorowski a approfondi cette découverte par la notion de psychogénéalogie.

Christian Flèche a déposé un brevet sur le nom de « décodage biologique ».

Le fil conducteur de ces approches et de ces enseignements est de mettre du sens, c’est-à-dire, de prendre connaissance (intellectuellement) pour ensuite prendre conscience (biologiquement, dans le corps).

Le sens des maladies, de véritables enseignements

Certaines personnes croient que les maladies sont des signaux que notre corps nous envoie pour nous indiquer que quelque chose ne va pas dans notre vie. Ces signaux peuvent être d’ordre émotionnel, psychologique ou spirituel.

Par exemple, une personne qui souffre de maux de dos chroniques peut avoir besoin de prendre du temps pour se reposer et se détendre, ou bien de faire face à des problèmes émotionnels ou de stress qu’elle a accumulés.

Les maladies peuvent également être vues comme des enseignements ou des opportunités de croissance. Elles peuvent nous aider à prendre conscience de nos faiblesses et à travailler sur nous-mêmes pour devenir plus forts et plus résilients.

L’origine émotionnelle des maladies et conflit

Tous nos manifestés, nos maladies, ont une origine, « un conflit programmant » non résolu.

Un trauma, un choc, une expérience similaire au niveau de la couleur émotionnelle d’une situation peut faire apparaître un conflit déclenchant, c’est là que peut apparaître le symptôme de la maladie.

Le conflit est une situation conflictuelle non résolue à l’intérieur de nous. Il se programme et se déclenche ensuite.

Le conflit est psychologique au départ, c’est-à-dire que le cerveau normalement en « normotonie », passe en seuil de stress maximum, en hyper-stress. C’est une situation que le cerveau ne supporte pas longtemps, alors si la situation persiste, il cherche une solution dans le corps, car le cerveau est orienté vers la survie. Une fois le conflit programmé puis déclenché, apparaissent des symptômes puis la maladie.

La maladie somatique

La maladie somatique contraint la personne à une élaboration de sens, suite à son apparition. Elle modifie le rapport que celui-ci entretient avec son organisme et avec l’image de son corps et le pousse à donner du sens à « l’événement maladie ».

Le sens peut s’entendre ici comme le sens personnel, celui que la personne donne elle-même à sa maladie. Cette mise en forme d’un sens génère alors le « roman de la maladie ».

La maladie peut prendre une valeur métaphorique. Le sens sera modelé par des conceptions liées à des peurs archaïques de la maladie, véhiculées au sein de la société depuis le début des temps ou bien à des conflits antérieurs non résolus.

Il peut s’agir aussi du sens que prend la maladie dans l’économie subjective du patient, sens qui sera étudié par la psychosomatique ou par un travail spécifique sur l’histoire familiale et sur ses conflits non résolus.

Conclusion

Le sens des maladies est un sujet personnel et individuel qui dépend de la façon dont chaque personne perçoit sa propre vie, son propre corps et sa propre histoire.

Quoi qu’il en soit, il est important de reconnaître que les maladies ne sont pas simplement des problèmes physiques à traiter, mais qu’elles peuvent aussi être des portes d’entrée vers une compréhension plus profonde de soi-même, de sa lignée et du monde qui nous entoure.

En définitive, l’individu malade fait l’expérience de la maladie.

Dans ce contexte, le sujet peut, dans un processus de symbolisation, être créateur de sens à propos de sa maladie.

Une question essentielle s’impose alors à lui : Quel sens peut-il donner à sa maladie ? (« Mal à dire »)

Les maladies peuvent également nous rapprocher des autres en nous permettant de ressentir plus profondément notre humanité commune.

 

Si vous voulez en savoir plus ou participer à une formation sur le sens des maladies, je vous recommande de vous inscrire à une formation chez Frédérique Lehmann.

Site internet : www.frederiquelehmann.com